Une proportion extrêmement importante de fumeurs considère ne pas présenter plus de risques de cancer : un phénomène de déni qui complique la lutte contre le tabagisme.
Dans l’esprit de beaucoup de fumeurs, l’arrêt du tabac conduit à une prise de poids. C’est souvent vrai en début de sevrage, mais par la suite la situation s’améliore beaucoup.
L’Académie nationale française de médecine estime que la cigarette électronique devrait être considérée comme un médicament d’aide au sevrage tabagique.
Une expérience montre qu’il est possible de manipuler le cerveau des fumeurs pendant leur sommeil et de les pousser à diminuer leur consommation de cigarettes.
Parmi les innombrables méfaits du tabagisme, celui-ci est assez surprenant : fumer augmente fortement le risque de souffrir de douleurs de dos chroniques.
Si les personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer accusent de lourdes pertes de mémoire, cela ne signifie pas que l’émotion liée à l’événement disparaît pour autant.
Même si on manque encore de recul, les preuves s’accumulent en faveur de l’usage de la cigarette électronique par les fumeurs qui ne parviennent pas à arrêter.
Les cas d’enfants intoxiqués par des substituts nicotiniques sont relativement rares mais les conséquences peuvent être très sérieuses. Il faut faire preuve de prudence.
Lorsqu’on se penche sur les termes de recherche dans Google, le lundi apparaît clairement comme le jour de la semaine où les fumeurs semblent le plus décidés à arrêter la cigarette.