La consommation régulière de produits laitiers (lait, fromage, yaourt) exercerait un effet protecteur significatif contre le risque de développer un diabète.
L’hypothyroïdie comme l’hyperthyroïdie affectent de nombreux paramètres de la santé sexuelle, tant chez les hommes que chez les femmes. Un trouble de la sexualité doit faire penser à un problème de thyroïde.
La Diabetes Liga (le pendant flamand de l'Association belge du diabète) a mis au point un test qui permet à chacun d'estimer son risque de développer un diabète de type 2 (DT2) dans les dix ans à venir. Il suffit de répondre à quelques questions simples.
L’association entre le diabète et la dépression est connue, mais les données sur ce lien ne sont pas très claires. Des nouvelles recherches jettent un éclairage intéressant.
Le pré-diabète est l'étape qui précède le diabète. Le taux de glucose (sucre) dans le sang est supérieur à la normale, mais pas encore suffisamment élevé pour pouvoir parler de diabète de type 2 (DT2). Comment réagir par soi-même pour limiter les risques d'évolution défavorable ?
Le diabète de type 2 (DT2) est considéré comme un facteur majeur de risque cardiovasculaire. Pourtant, il semblerait que le respect des objectifs thérapeutiques atténue considérablement cette association.
Ce test vous permettra de savoir si vous présentez un risque élevé de souffrir dans les dix ans à venir d'un diabète de type 2. Ce test est basé sur une étude scientifique.
Les personnes diabétiques s’exposent à un risque cardio et cérébrovasculaire spécifique : le respect d’un mode de vie sain, reposant sur quatre facteurs clés, exerce un effet préventif majeur.
Hypertension, diabète, excès de cholestérol : pour une meilleure qualité de vie, les personnes à risque cardiovasculaire ont tout intérêt à pratiquer une activité physique régulière.
Un taux trop faible de vitamine D est associé à un risque plus élevé de développer un diabète de type 2. A l’inverse, un taux satisfaisant présente un effet protecteur.
Le diabète est aujourd’hui scindé en deux types (DT1 et DT2), mais une classification plus fine permet de dégager cinq groupes : le diagnostic et le traitement en seront améliorés.
Il existe des indications selon lesquelles une consommation légère à modérée d'alcool (jusqu'à deux verres par jour) réduit le risque de diabète de type 2 par rapport à la non-consommation. Par contre, une consommation élevée augmente le risque.
Faire l’impasse sur le repas du matin est une (très) mauvaise idée : cela dérègle nos horloges biologiques, avec un effet sur la glycémie et le poids corporel.
La vitamine D peut-elle permettre de « réparer » les artères endommagées par des maladies comme l’hypertension, le diabète ou l’athérosclérose ? C’est bien possible.
La consommation modérée d'alcool n'est pas prohibée si vous êtes diabétique, mais des mesures de prudence doivent être respectées. Quels conseils faut-il suivre ?
Les bouffées de chaleur à la ménopause, surtout s’il s’agit de sueurs nocturnes, augmentent sensiblement le risque de diabète : il est important d’adapter son mode de vie.
La migraine affecte une proportion considérable de la population, sachant que les femmes seraient trois fois plus touchées que les hommes. Ses conséquences peuvent être très lourdes. Causes, symptômes et traitements : que faut-il savoir ?
La consommation raisonnable d’alcool protégerait contre le risque de développer un diabète de type 2 (DT2), et ceci vaut autant pour les hommes que pour les femmes.
L’hypertension gravidique et le diabète gestationnel augmentent considérablement le risque de souffrir plus tard d’une hypertension artérielle et d’un diabète, et si ceci vaut surtout pour la maman, le papa est aussi concerné.
En cas de pré-diabète, il est important de réagir énergiquement, car dans le cas contraire, le risque est élevé d’évoluer à court ou moyen terme vers le diabète. L’adaptation des habitudes de vie joue un rôle clé.
L’âge de la ménopause influence le risque de développer un diabète de type 2 (DT2). La ménopause tardive exerce un effet protecteur, contrairement à la ménopause précoce.