La position dans laquelle on dort peut influencer la qualité du sommeil. Sur le dos ou sur le côté : qu'est-ce qui est préférable ?

Dans près d’un cas sur trois, les troubles érectiles peuvent être surmontés en modifiant ses comportements. Ce n’est pas facile, mais le jeu en vaut la chandelle.

En cas de troubles du sommeil, il est bon de démarrer avec des mesures comportementales, sachant les risques liés aux médicaments.

La thérapie cognitivo-comportementale (TCC) est largement préférable à l’usage des médicaments pour traiter les troubles du sommeil, et ceci est particulièrement vrai chez les seniors.

Cauchemars et mauvais rêves : les nuits de certains d’entre nous sont régulièrement perturbées par ces expériences désagréables, et parfois traumatisantes.

L’usage du smartphone en soirée risque de perturber considérablement le sommeil, ce qui se traduit par une fatigue physique et mentale le lendemain.

Nombreux sont ceux et celles qui ressentent cette sensation de pieds glacés en se glissant dans le lit. Au-delà de la bouillotte, quelles solutions peut-on leur proposer ?

Voici quelques astuces, pour certaines d'entre elles assez inattendues, qui devraient vous permettre de mieux dormir.

Le passage à l'heure d'été aura lieu dans la nuit de samedi à dimanche. Et on dormira une heure de moins, puisque sur le coup de 2 h, il sera en fait 3 h.

On sait de longue date que les troubles du sommeil contribuent à augmenter le risque de maladie cardiaque. Cette étude insiste sur l’importance de la durée d’endormissement.

Une association est établie entre la durée et la qualité du sommeil et certains signes caractéristiques de la maladie d’Alzheimer. Une piste d’intervention ?

Vous vous sentez fatigué en cours de journée, vous baissez de régime, vous avez tendance à vous assoupir ? La propension à la somnolence peut être mesurée par des questions simples.

Le ronflement pendant la grossesse est associé à une probabilité accrue d’accoucher par césarienne et de mettre au monde un enfant plus petit que la moyenne.

Une croyance tenace affirme que le fait d'aller dormir tôt permet de se sentir plus reposé au réveil. C'est vrai et... faux à la fois.

Le syndrome d’apnées obstructives du sommeil (SAOS) affecte la qualité de vie. Certains signes sont évidents, d’autres beaucoup moins. Il en va ainsi de la souffrance cardiaque.

Le syndrome d’apnées du sommeil augmente considérablement le risque d’être impliqué dans un accident de la circulation.

La pratique du yoga améliore la qualité du sommeil, ici des femmes ménopausées. Mais il n’y a pas de raison de penser que ce bienfait ne concerne qu’elles.

Trop ou pas assez : lorsque la durée du sommeil s’éloigne des recommandations, les problèmes de santé se retrouvent en terrain favorable.

Une semaine de camping en pleine nature agit de manière spectaculaire sur le rythme de production de la mélatonine, l’hormone du sommeil.

Ce n’est pas la première fois qu’un lien est établi entre la qualité du sommeil et l’apparence physique : cette fois, l’association porte sur les apnées.

Non seulement les nuits d’insomnie ne permettent pas de récupérer convenablement, mais en plus, elles imposent une fatigue supplémentaire au cerveau durant la journée qui suit.

Pourquoi certains d’entre nous se rappellent-ils de leurs rêves et d’autres pas ? Des chercheurs français avancent une hypothèse.

Lorsqu'on ne parvient pas à dormir ou à se rendormir, la nuit peut paraître très longue. Vaut-il mieux se lever et vaquer à différentes occupations ou au contraire rester couché ?

Des exercices de chant, vingt minutes par jour, permettent de réduire la fréquence et l’intensité des ronflements.

Nous passons cette nuit à l'heure d'hiver. Bonne nouvelle : on pourra dormir une heure de plus ce dimanche matin. En effet, à 3 h, il ne sera en fait que 2 h. N'oubliez pas de régler votre réveil, votre montre et vos divers appareils.

Chez les personnes qui souffrent de problèmes de sommeil, l’activité physique n’améliore pas immédiatement la situation. Elles doivent persévérer.

Une durée du sommeil satisfaisante contribue de manière importante à la prévention des maladies cardiovasculaires.

Le manque de sommeil a été associé à une augmentation du risque d’obésité, en raison d’une consommation accrue d’aliments hautement caloriques. Mais que se passe-t-il dans le cerveau ?