Chez une proportion importante des consommateurs, l’alcool déclenche un comportement d’agressivité. Comment expliquer ce phénomène ?

La consommation excessive d’alcool (à partir de six verres par jour pour les hommes et quatre pour les femmes) augmente considérablement le risque de démence précoce.

Il existe des indications selon lesquelles une consommation légère à modérée d'alcool (jusqu'à deux verres par jour) réduit le risque de diabète de type 2 par rapport à la non-consommation. Par contre, une consommation élevée augmente le risque.

On pense souvent que la bière (et l'alcool en général) fait grossir. Cette conviction est entretenue, entre autres, par l'image typique du « bide. Pourtant, les études se contredisent. Que faut-il savoir ?

La consommation modérée d'alcool n'est pas prohibée si vous êtes diabétique, mais des mesures de prudence doivent être respectées. Quels conseils faut-il suivre ?

Boire de la bière sans alcool et afficher un alcootest positif ? Cela paraît improbable... mais c'est possible. En fait, selon les pays, et malgré le label « sans alcool », la bière peut néanmoins en contenir.

Si vous mélangez de l'alcool avec une boisson light, vous courez le risque de vous enivrer plus rapidement que lorsque vous mélangez de l'alcool avec une boisson gazeuse sucrée.

L'effet de l’alcool sur les émotions est bien connu, avec des grandes différences selon la personnalité de chacun, le type de boisson alcoolisée, et évidemment la quantité.

La consommation raisonnable d’alcool protégerait contre le risque de développer un diabète de type 2 (DT2), et ceci vaut autant pour les hommes que pour les femmes.

L'action Tournée Minérale a rencontré un réel succès en 2017 : plus de 120.000 Belges y ont participé, et se sont engagés à ne pas boire une goutte d’alcool pendant un mois. En 2018, Tournée Minérale débute ce 1er février, avec un site Internet complètement repensé. Voici tout ce qu'il faut savoir sur cette deuxième édition.

De nombreuses études ont montré qu’il existe un lien entre notre alimentation et certains types de cancer, comme ceux du côlon, du sein, de l’oesophage, de la prostate et de l’estomac. Cependant, cette association est très complexe. Que sait-on exactement ?

L’usage du cannabis à l’adolescence augmente considérablement le risque d’autres dépendances chez le jeune adulte : la marijuana est une porte d’entrée majeure vers l’addiction.

On pense souvent qu’un « petit verre » de temps en temps n’a pas d’incidence sur le développement du fœtus : en fait, la femme enceinte ne devrait pas boire la moindre goutte d’alcool.

Cette étude doit être considérée avec une très grande prudence : toujours est-il qu'elle suggère que le fait de boire du vin rouge pourrait atténuer certains méfaits du tabac.

De nouvelles données tendent à suggérer l’effet protecteur de l’alcool face au risque cardiovasculaire, mais seulement si la consommation ne dépasse pas les recommandations.

Les interactions entre les médicaments et l’alcool peuvent être (très) sévères. Il est important que les patients soient conscients des risques… et qu’ils les évitent.

La consommation élevée et chronique d’alcool favorise le processus de rigidification (rigidité) des artères, avec un risque accru de maladie et d’accident cardiovasculaire.

On laisse parfois son enfant goûter à un verre de bière ou de vin lors d’une fête de famille. Il vaut mieux s'en abstenir, et en tout cas tant qu'il n'a pas atteint l'âge de 16 ans, et toujours en le sensibilisant aux risques de l'alcool.

La consommation de vin blanc augmenterait le risque de souffrir d’un mélanome, alors que les autres alcools ne semblent pas avoir le même effet sur ce cancer de la peau.

Les boissons alcoolisées, les sodas et les snacks contiennent beaucoup de calories. Le sport est un bon moyen de les éliminer, mais il vous faudra vous dépenser... vraiment. Quelle activité physique et pendant combien de temps pour quelle quantité de calories ?

En fonction de la consommation d’alcool, à quel risque d’accident vasculaire cérébral (AVC) s’expose-t-on ? Il semble que la limite se situe à deux verres quotidiens.

La consommation d’alcool augmente le risque de souffrir d’un cancer prostatique et ceci est surtout vrai parmi les gros buveurs, mais pas seulement.

Afin de mettre toutes les chances de leur côté, les femmes qui souhaitent tomber enceinte doivent-elles éviter la consommation d’alcool ?

Il est savoureux, on dit qu'il porte bonheur, mais en plus le champagne présente des bienfaits insoupçonnés à la fois sur le plan physique et mental. On le consommera avec modération bien sûr : dans le cas contraire, les effets néfastes prendront le dessus.

Consommation totale d’alcool, consommation problématique, méfaits : sur ces trois points, il n’existe plus aujourd’hui qu’une faible différence entre les hommes et les femmes.

Un groupe d’experts belges spécialisés dans la problématique de l'alcool vient de publier une nouvelle directive sur la consommation raisonnable d’alcool, pour limiter les risques pour la santé.

La consommation excessive d’alcool expose à des risques élevés de cancer et de maladie cardiovasculaire. L’activité physique exerce une réelle protection.

La question est souvent posée : y a-t-il un danger à consommer de l'alcool lors d'un traitement aux antibiotiques ? En fait, l'alcool ne diminue pas vraiment l'efficacité des antibiotiques, mais accentue leurs effets secondaires, et les risques ne sont pas anodins.