La prévention en matière de cancer du sein sauve des vies. Une étude internationale conduite par la Belgique vise à mettre au point une stratégie de dépistage basée sur le risque individuel.
Le cancer de la vessie est généralement diagnostiqué tôt, la présence de sang dans les urines étant le symptôme le plus caractéristique. Les traitements comprennent la chirurgie, la thérapie biologique et la chimiothérapie.
Les maladies de la thyroïde sont nombreuses et elles peuvent conduire à un manque (hypothyroïdie) ou au contraire à un excès d'hormones thyroïdiennes (hyperthyroïdie). Dans certains cas, la thyroïde peut augmenter de volume et former un goitre. Elle peut également être le siège du développement de nodules.
Chaque année, le nombre de diagnostics de cancer de la peau augmente en Belgique. Et on s'attend à ce que les chiffres doublent encore au cours des dix prochaines années. La Fondation contre le cancer appelle les autorités à mettre en œuvre un plan d'action national ambitieux.
La consommation fréquente de champignons pourrait exercer un réel effet protecteur contre le risque de cancer. Au centre de toutes les attentions : l’ergothionéine, un puissant antioxydant.
Selon de nombreux experts, le fait que le cancer infantile soit relativement rare explique que trop peu de recherches soient effectuées sur les causes de la maladie et les traitements spécifiques destinés aux enfants. Ils appellent donc à un investissement plus important dans ce domaine.
Le dépistage du cancer du col de l'utérus permet de repérer, diagnostiquer et traiter des lésions précancéreuses du col de l'utérus afin d'éviter à des femmes de développer un jour la maladie. Examen clé : le frottis.
C’est un constat assez saisissant : si les taux de vitamine D étaient satisfaisants pour l’ensemble de la population adulte, ceci permettrait de réduire sensiblement le nombre de décès par cancer.
La consommation quotidienne de café semble exercer un certain effet protecteur contre le risque de développer un cancer de la prostate, en particulier de forme agressive.
Le glioblastome est une tumeur du cerveau très agressive qui est, à ce jour, incurable. Toutefois, certaines modalités de traitement permettent de contrôler la maladie et d’augmenter l’espérance de vie.
Testicules, vessie, prostate, pénis… : la consommation de cannabis augmente-t-elle le risque de développer un cancer de l’appareil uro-génital ? Pour certains types de tumeurs, une association est fortement suspectée.
Des chercheurs ont mis au point un test respiratoire prometteur pour détecter les cancers de la tête et du cou. Leur ambition est de développer un appareil utilisable par les médecins généralistes.
Catherine Seva, biologiste cellulaire à l'Inserm, travaille plus particulièrement sur le cancer du côlon. Elle a démontré que la présence d'un fort taux de progastrine dans des polypes apparemment bénins peut être le signe précurseur d'une évolution cancéreuse.
On s’en doutait fortement, c’est confirmé : le vaccin contre le HPV (papillomavirus) exerce bien un effet protecteur contre le risque de cancer du col de l’utérus.
Traitements hormonaux, habitudes de vie, antécédents familiaux et médicaux, densité mammaire : dans quelle mesure ces facteurs interviennent-ils dans le risque de développer un cancer du sein ?
Le venin d'abeille peut attaquer avec succès les cellules cancéreuses sans nuire aux cellules saines. Cette action est le fait de la méllitine, le principal composant du venin d'abeille (appelé apitoxine), qui a été testée sur divers sous-types de cancer du sein.
Une simple analyse de sang pourrait permettre de détecter les cancers parmi les plus fréquents pas moins de quatre ans avant les premiers symptômes. Grâce à un diagnostic aussi précoce, le traitement gagnerait considérablement en efficacité.
Le traitement par ultrasons du cancer de la prostate pourrait constituer une alternative sûre et efficace aux approches classiques. Une nouvelle étude tend à confirmer tout son intérêt.
Le traitement du cancer de la prostate (chirurgie, radiothérapie ou chimiothérapie) expose le patient à des effets très lourds sur la qualité de vie, en particulier sur la fonction sexuelle et urinaire, avec une fatigue importante.
Il existe des liens étroits entre l'alimentation et le risque de cancer. Quels sont les aliments qui favorisent certains cancers ou au contraire exercent un effet protecteur ?
Les maladies parodontales, comme la gingivite et la parodontite, exposeraient à un risque plus élevé de développer un cancer de l’œsophage ou de l’estomac. En cause : les bactéries et l’inflammation.
Des médicaments contre l’hypertension exercent-ils un effet protecteur contre le risque de développer un cancer du côlon (colorectal) ? Une association est en tout cas établie avec certains antihypertenseurs.
Le syndrome métabolique, notamment caractérisé par une obésité abdominale, est associé à une augmentation du risque de développer certains types de cancer : celui de la vessie vient s’ajouter à la liste.
Le test PSA (antigène prostatique) a longtemps été considéré comme un outil de référence pour la détection du cancer de la prostate. Son intérêt est aujourd’hui très controversé. Voici de nouveaux éléments.
En raison des craintes liées à la Covid-19, de nombreuses personnes ont volontairement décidé de ne pas effectuer les examens de dépistage du cancer, comme la coloscopie ou la mammographie. Il est important qu'elles s'y soumettent sans tarder.
Une activité physique régulière exerce un effet protecteur contre au moins 7 types de cancer. Et plus on fait de l’exercice, plus le bienfait est marqué.
En Belgique, le dépistage du cancer colorectal s'adresse aux hommes et aux femmes âgés de 50 à 74 ans. Pour Bruxelles et la Wallonie, le test immunologique est utilisé depuis 2016 et la campagne de détection rencontre un succès croissant.
