Légumes verts, légumineuses, fruits secs et riz brun : une alimentation de type macrobiotique réduirait sensiblement le risque de développer un cancer du côlon !
Les fumeurs qui grillent leur première cigarette peu après le réveil s’exposent à un risque considérablement accru de souffrir d’un cancer du poumon ou affectant la sphère tête-cou.
Une étude américaine conclut que les patients souffrant d’un cancer de la prostate à un stade précoce doivent bénéficier d’un traitement hormonal, en combinaison avec la radiothérapie.
Même si le nombre de cas reste relativement faible, les femmes ayant subi une hystérectomie courent un risque accru de souffrir d’un cancer du rein, surtout si l’intervention a été réalisée avant la quarantaine.
Les ongles des orteils pourraient devenir un indicateur simple permettant de détecter le degré d’exposition à la nicotine, et dès lors le risque de cancer du poumon.
Une étude américaine indique que certains types de cancers affectent moins les enfants dans les régions où la couverture vaccinale est la plus étendue.
Les patients atteints d’un cancer de la prostate et fumeurs au moment où le diagnostic est posé courent un risque considérablement plus élevé de récidive après traitement, et de mortalité.
Les femmes qui consomment cinq tasses, ou davantage, de café par jour s’exposent à un risque moindre de souffrir d’un certain type de cancer du sein, par rapport à celles qui en boivent rarement.
Les personnes qui travaillent en position assise doublent leur risque de cancer du côlon, à partir du moment où cette activité professionnelle s'étale sur plus de dix ans.
Contrairement à ce que beaucoup pensaient jusqu’à présent, les femmes traitées pour un cancer du sein auraient tout intérêt à soulever des charges pour prévenir la formation d’un lymphoedème aux bras.
Seuls 3 à 5% des fumeurs parviennent à abandonner la cigarette sans la moindre aide. Le pourcentage de réussite augmente considérablement (25%) lorsque le fumeur se fait accompagner.
Les rapports sexuels ont des effets protecteurs contre certaines maladies graves. Une étude écossaise affirme que trois câlins par semaine allongent de dix ans la durée de vie !
L’obésité, déjà identifiée comme facteur de risque cardiovasculaire et de développement du diabète (de type 2), pourrait favoriser l’émergence du cancer du sein.
Plus une personne est allergique, moins elle court de risques de développer un gliome, un type de tumeur du cerveau, affirme une équipe de chercheurs américains.
Aspirant, c’est le nom du berger malinois dressé à la base militaire d’Orléans (France), et qui est capable de flairer parmi une série d’échantillons d’urine ceux qui correspondent à un patient souffrant du cancer de la prostate.
Prendre des hormones de substitution à la ménopause augmenterait le risque de développer un cancer du sein. Mais tout dépend du moment où débute le traitement.
Côlon, vessie, prostate… : plusieurs études ont mis en évidence certaines propriétés anticancéreuses du brocoli. De nouvelles recherches les confirment.
La lithiase vésiculaire est une pathologie fréquente. Des chercheurs ont tenté d’évaluer son impact sur la mortalité. Les résultats posent de sérieuses questions.
Pratiquer une activité physique étalée sur deux heures et demie par semaine joue un rôle essentiel dans la prévention du cancer, en particulier du sein et du côlon.
Les personnes qui ont souffert d’un cancer dans leur enfance s’en sortent au moins aussi bien que les autres, et souvent mieux, sur un plan professionnel, social et personnel.