Les cancers urogénitaux regroupent les atteintes tumorales du rein et de la vessie chez l'homme et chez la femme, et chez l’homme, le cancer de la prostate, du testicule et du pénis. Certaines classifications incluent le cancer du col de l'utérus.
Fréquence des rapports sexuels, nombre de partenaires, âge des premières relations sexuelles : ces paramètres pourraient jouer un rôle dans le risque de développer un cancer de la prostate.
En Belgique, on diagnostique environ 1500 nouveaux cas de cancer du rein par an. Cette maladie peut apparaître à tout âge, mais elle est se développe surtout entre 45 et 60 ans. On recense davantage de cas chez les hommes que chez les femmes. Que faut-il savoir ?
L’ablation de la prostate (prostatectomie) constitue un recours majeur en cas de cancer. Les conséquences pour la fonction urinaire et érectile peuvent être sévères, avec un impact psychologique très important.
Le cancer des testicules, généralement indolore, est souvent dépisté tardivement. Or, un diagnostic aussi précoce que possible est important. Quels sont les symptômes qui indiquent qu'il peut s'agir d'un cancer et non d'une inflammation bénigne du testicule ?
L’hémospermie (ou hématospermie) qualifie la présence de sang dans le sperme. Cette situation fait craindre le pire, mais ne présente pas de caractère de gravité dans la plupart des cas. Quelles en sont les causes et quand faut-il consulter un médecin ?
Le dépistage du cancer du col utérin est une démarche importante car une détection précoce augmente considérablement les chances de guérison. Trois fiches d’information sont mises à la disposition des femmes pour répondre à leurs questions sur le sujet.
Le test ou dosage PSA (antigène prostatique) est-il réellement efficace, en l’absence de symptômes d’alerte d’un cancer de la prostate ? En d’autres termes, un dépistage systématique a-t-il du sens ?
C’est un constat étonnant : en cas de cancer de la prostate, en particulier à un stade avancé, le fait d’être en surpoids, et surtout en obésité, améliore les chances de survie.
Lorsque le cancer de la prostate a de fortes chances de se propager aux ganglions lymphatiques du petit bassin, l'irradiation préventive de ces ganglions lymphatiques augmente les chances de guérison définitive. C'est ce qui ressort d'une étude internationale menée par l'équipe multidisciplinaire de l'UZ Leuven.
Le cancer de la vessie est généralement diagnostiqué tôt, la présence de sang dans les urines étant le symptôme le plus caractéristique. Les traitements comprennent la chirurgie, la thérapie biologique et la chimiothérapie.
Le dépistage du cancer du col de l'utérus permet de repérer, diagnostiquer et traiter des lésions précancéreuses du col de l'utérus afin d'éviter à des femmes de développer un jour la maladie. Examen clé : le frottis.
L’hémospermie (ou hématospermie) qualifie la présence de sang dans le sperme. Cette situation fait craindre le pire, mais elle ne présente pas de caractère de gravité dans la plupart des cas. Quelles en sont les causes et quand faut-il consulter un médecin ?
La consommation quotidienne de café semble exercer un certain effet protecteur contre le risque de développer un cancer de la prostate, en particulier de forme agressive.
Testicules, vessie, prostate, pénis… : la consommation de cannabis augmente-t-elle le risque de développer un cancer de l’appareil uro-génital ? Pour certains types de tumeurs, une association est fortement suspectée.
On s’en doutait fortement, c’est confirmé : le vaccin contre le HPV (papillomavirus) exerce bien un effet protecteur contre le risque de cancer du col de l’utérus.
Le traitement par ultrasons du cancer de la prostate pourrait constituer une alternative sûre et efficace aux approches classiques. Une nouvelle étude tend à confirmer tout son intérêt.
Le traitement du cancer de la prostate (chirurgie, radiothérapie ou chimiothérapie) expose le patient à des effets très lourds sur la qualité de vie, en particulier sur la fonction sexuelle et urinaire, avec une fatigue importante.
Le syndrome métabolique, notamment caractérisé par une obésité abdominale, est associé à une augmentation du risque de développer certains types de cancer : celui de la vessie vient s’ajouter à la liste.
Le test PSA (antigène prostatique) a longtemps été considéré comme un outil de référence pour la détection du cancer de la prostate. Son intérêt est aujourd’hui très controversé. Voici de nouveaux éléments.
On parle de cytologie des urines : le test urinaire classique visant à détecter un cancer de la vessie est utile, mais il manque encore d'efficacité. Une équipe belge développe un nouvel outil bien plus précis.
En Belgique, on diagnostique environ 1500 nouveaux cas de cancer du rein par an. Cette maladie peut apparaître à tout âge, mais elle est se développe surtout entre 45 et 60 ans. On recense davantage de cas chez les hommes que chez les femmes. Que faut-il savoir ?
En Belgique, environ 8200 nouveaux cas de cancer de la prostate sont répertoriés chaque année. Environ trois quarts des patients ont plus de 65 ans. Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l’homme. Que faut-il savoir ?
La vaccination sur une large échelle contre le papillomavirus (HPV) - et dès lors contre le cancer du col de l’utérus - donne des résultats remarquables, qu’il s’agisse de la prévention des infections ou du développement des lésions cervicales.
La vaccination contre le papillomavirus (HPV) protège bien contre les lésions précancéreuses du col de l’utérus. Quant au cancer proprement dit, on peut le supposer.
La vaccination contre le papillomavirus (HPV) pourrait faire sensiblement baisser le risque de développer un cancer du pénis. Tous les hommes devraient-ils être vaccinés ?
Fréquence des rapports sexuels, nombre de partenaires, âge des premières relations sexuelles : ces paramètres pourraient jouer un rôle dans le risque de développer un cancer de la prostate.
Le moment du dîner (souper) et l’intervalle entre le dernier repas de la journée et l’heure du coucher influenceraient le risque de cancer du sein et de la prostate.
Le traitement du cancer du pénis repose sur l’amputation partielle ou totale, qui augmente considérablement les chances de survie. Mais la décision est très difficile à prendre…
Il est inutile de procéder à des frottis cervicaux de dépistage du cancer du col de l'utérus chez les femmes de plus de 65 ans à faible risque. Pourtant, l’examen est encore souvent pratiqué. Pourquoi ?
Le frottis périodique est un examen extrêmement important pour dépister le cancer du col de l’utérus à un stade précoce. Pourtant, de nombreuses femmes ne s’y soumettent pas : pour quelles raisons ?