Antidépresseurs : oui, mais à bon escient !

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dossier Selon l’OMS, 4 à 10 % d’entre nous seront un jour confrontés à la dépression. Pour faire face à cette maladie caractérisée par une perte d’intérêt et de plaisir dans la vie quotidienne, deux traitements sont possibles : le suivi d’une psychothérapie et/ou la prescription d’un antidépresseur, la combinaison des deux étant le plus souvent la meilleure solution. Pour la ministre de la Santé publique, Maggie De Block, les médecins généralistes ont tendance à prescrire trop d’antidépresseurs. Mais qu’en pensent les spécialistes ?

« La plus grande difficulté de notre époque, c’est que l’on peut rapidement ressentir des affects dépressifs, nous explique le Dr Gérald Deschietere », psychiatre aux Cliniques universitaires Saint-Luc. « Ce sont, par exemple, une perte d’estime de soi, de la tristesse, de la fatigue, de l’indécision ou des troubles du sommeil. Tous ces symptômes peuvent révéler une dépression mais, pris séparément, ils ne suffisent pas à diagnostiquer cette maladie. Il faut en effet compter la conjonction d’au moins cinq éléments parmi ceux précités – dont la liste n’est pas exhaustive – ainsi qu’une durée dans le temps suffisamment longue (environ quinze jours d’humeur maussade) pour définir un réel état dépressif. »

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Dernière mise à jour: mars 2018

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