Les aéroports, plaques tournantes pour les microbes

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news Il n’y a pas que les passagers qui transitent par les aéroports : les microbes suivent en masse.

Une équipe du prestigieux Massachusetts Institute of Technology (MIT) a établi le classement des aéroports américains considérés comme les plus importantes plaques tournantes dans la propagation des microbes. L’aéroport JFK (New York) arrive en tête, suivi par celui de Los Angeles et, à une surprenante troisième place, celui d’Honolulu (Hawaï), devant San Francisco, Chicago ou encore Washington.

La fréquentation n’est donc pas un élément exclusif : la localisation géographique, les connections avec des plates-formes majeures, ainsi que le temps moyen d’attente constituent des critères importants. L’objectif des chercheurs du MIT consiste à élaborer un modèle de prédiction de la propagation d’agents infectieux (d’apparition « naturelle », accidentelle ou à la suite d’un acte terroriste), en se concentrant sur des « nœuds » cruciaux (et vulnérables), comme ici les aéroports.

Des données à porter à la connaissance des autorités, afin de leur permettre de développer des stratégies optimales.



Dernière mise à jour: octobre 2012

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